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Par Nana~ le 27 Juillet 2016 à 20:00
Parce que la cuisine japonais ne va jamais sans sa magnifique vaisselle !!! Nous n'avons pas pu nous empêcher de craquer pour de nouvelles acquisitions... que ce soit à la rue "spéciale cuisine" Kappa-bashi (à Asakusa, dans la préfecture de Tokyo) ou au "100¥ Shop" du coin (magasin où quasiment tout est à 100¥, c'est-à-dire ~1 CHF) !
Voilà l'assortiment :
Baguettes Momiji (feuille d'érable) & Sushi
Carillon de Tanabata (fête de l'été, durant laquelle les Japonais écrivent des voeux sur des papiers allongés avant de les suspendre à des arbres)
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Par Nana~ le 27 Juillet 2016 à 19:59
Puis, comme pour cuisiner japonais il est indispensable d'avoir à disposition des accessoires de cuisine adaptés, et aussi d'être belle (hum... superflu dites-vous ? ), nous vous présentons ci-dessous quelques ustensiles de cuisine trouvés à Kappa-bashi ou dans les "100¥ Shop", ainsi que quelques autres trouvailles.
Mini poêle à Tamagoyaki (omelette roulée sucrée japonaise) & mini fouet (idéal pour les sauces)
Cuillères pour doser
Blush & High Ligtning, crayon noir pour les yeux, pinceau à blush
Fourre de téléphone léopard Vivienne Westwood
Petit Hand Grip ! Pour se muscler un peu les bras... histoire de pouvoir monter les blancs ou la mayo !
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Par Nana~ le 23 Avril 2016 à 20:45
Bonsoir chers aminautes !
Encore une recette de Gyōza vous nous direz ? Beeeeen... oui, mais avec une farce différente cette fois-ci : poulet et crevette ! Un très bon mélange, à la fois savoureux et moelleux aux notes typiques japonaises !
Sans plus tarder, voici la recette
Gyōza au poulet au Shiokoji & crevette, chou, châtaignes d'eau, oignon & ail
Salade de Wakame au concombre, chou, Dashi, sésame & Wasabi, tomates cerises
Ingrédients (1 pers) : 11 pièces
Pâte à Gyōza : se référer à ce post pour ses ingrédients et sa préparation ICI
Farce :
- 60g de poitrine de poulet (avec ou sans peau)
- 1 c. à c. de Shiokoji (marinade du poulet)
- 1 c. à expresso de Sake (marinade du poulet)
- 90g de crevettes décortiquées
- 2-3 c. à c. de choux blanc ou chinois râpé
- 2 châtaignes d'eau hachées
- Un peu d'oignon émincé
- 1 petite gousse d'ail émincée
- 1 c. à expresso d'huile de sésame grillé
- 1 c. à c- de Shōyu
- 1 c. à c. de Sake
- sel, poivre noir
Cuisson :
- huile végétale (nous : tournesol)
- 80-90g d'eau (ou plus si besoin)
Sauce pour dipper : mélanger le tout, aux quantité souhaitées
- Shōyu surchoix à la bonite
- Vinaigre de riz (moins de volume que le Shoyu)
- Sake (peu)
- Wasabi
- Graines de sésame grillées
Préparation :
LA VEILLE : faire mariné le poulet avec le Shiokoji et le Sake, en mettant le
tout dans un sac Ziplock. Malaxer et placer au réfrigérateur toute
une nuit.
LE LENDEMAIN:
1. En tout premier, il est important de préparer la pâte à Gyōza, car elle doit
reposer 2h. (pour sa préparation, cliquer sur le lien mentionné dans les
ingrédients)
2. Sortir le poulet du réfrigérateur et le hacher finement. Ne pas hésiter à
"l'écraser" avec le plat de la lame d'un couteau large. Faire de même avec les
crevettes.
Note : Vous pouvez aussi choisir de laisser quelques morceaux de poulet et de
crevettes plus grossiers pour ajouter de la texture.
3. Bien mélanger le poulet et les crevettes avec tous les ingrédients de la farce.
Couvrir d'un film plastique et placer au réfrigérateur 1 à 2h, affin que la
préparation soit plus ferme.
4. Une fois ce temps écoulé, peser des boulettes de pâte à ravioli d'environ
10g, puis les placer dans un sac Ziplock pour éviter qu'elles ne sèchent.
5. Sortir la farce du réfrigérateur et peser également des boulettes d'environ
10-14g. Réserver sur une assiette.
6. Prendre une boulette de pâte, la fariner légèrement et l'étaler au rouleau à
pâte en forme de disque régulier. Placer une boulette de farce au centre, puis
effectuer le fameux pliage :
Image tirée du Blog de Bernard
7. Réserver les Gyōza sur un papier sulfurisé légèrement fariné et répéter
l'opération jusqu'à épuisement des boulettes.
8. Faire chauffer une poêle moyenne huilée à feu vif, y déposer les Gyōza sans
qu'ils ne se touchent et les laisser dorer quelques minutes.
9. Verser l'eau dans la poêle, couvrir d'un couvercle et laisser cuire "vapeur"
quelques minutes, en baissant un peu le feu, jusqu'à ce que la pâte des
ravioli soit moelleuse et cuite.
10. Retirer le couvercle et laisser évaporer les derniers résidus d'eau. Faire
griller les Gyōza encore un peu, de manière à ce qu'ils soient bien
croustillants sur le dessous.
11. Servir bien chaud, accompagné de la sauce à dipper et d'une bonne assiette
de légumes mijotés, sautés ou une salade. Et même, pourquoi pas, une
Miso-shiru (recette traditionnelle ICI)!
Itadakimass !!!
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Par Nana~ le 3 Avril 2016 à 16:21
Bonsoir à tous, nos cher aminautes préférés !
Depuis un moment, en nous rendant au marché en gros des restaurateurs de Genève, nous lorgnons sur... les tripes ! Et oui, ce met peut ragoûtant que voilà, nous en raffolons ! Une sale gueule, mais tellement bon quand c'est bien cuisiné !
D'ailleurs, si ça peut vous rassurer, même les japonais, connus pour leur raffinement dans leur cuisine, en font des plats succulents ! C'est du reste un bon petit plat mijoté de leur patrimoine culinaire que nous vous proposons dans cet article : le Ibukuro no Nikomi. Il s'agit de tripes mijotées en bouillon doux épaissi au Miso, pleines de saveurs réconfortantes.
Évidemment, nous avons encore et toujours mis notre petit grain de sel dans le plat... en y ajoutant des châtaignes (non non, nous n'y sommes pas accros, juré!... ups... le nez qui pousse...), des petits dès de pomme, des lamelles d'oignon, des amandes grillées et un peu de Kurogoma. Franchement, nous nous sommes régalées !
Alors... oubliez vos préjugés sur les abats et let's try !
Ingrédients (1 pers) :
- 150g de tripes de boeuf déjà blanchies (nous les avons achetées comme ça)
- Quelques morceaux de Aage et son jus (nous: maison, recette ICI)
- 3-4 champignons noirs parfumés réhydratés
- Un petit morceau ce carotte en rondelles (ou emporte-piècées "fleur")
- 30g d'oignon blanc coupé en lamelles grossières
- 1 gousse d'ail émincée
- Un petit morceau de pomme coupée en dés moyens
- Quelques morceaux d'algues Wakame séchées
- 4 châtaignes entières cuites vapeur (nous les avons achetées en bocal)
- 1 c. à c. d'huile de sésame
Bouillon :
- 1 grosse c. à c. de Shiro Miso
- 1/2 c. à s. de sucre brun (facultatif si on dispose de beaucoup de jus
du Aage, déjà bien sucré)
- 1/2 c. à s. de Shoyu
- 1 + 1/2 c. à s. de Sake
- 1 c. à s de Mirin
- Un peu de Gari émincé (gingembre à sushi, ou frai si vous préférez)
- Juste assez d'eau pour recouvrir les tripes
- 1 c. à expr. de Katakuriko diluée dans 1 c. à c. d'eau
Accompagnement & toppings :
- 1 c. à expr. de graines de sésame grillées (nous: Kurogoma)
- 1 c. à expr. d'amandes torréfiées concassées
- Une portion de riz japonais préparé
Préparation :
1. Faire chauffer une petite casserole avec l'huile de sésame sur feu moyen. Y
faire revenir les oignons et l'ail jusqu'à ce qu'ils soient très légèrement
colorés. Ajouter les tripes et faire revenir le tout rapidement.
2. Déglacer au Sake et ajouter la pâte de Shiro Miso et assez d'eau pour juste
recouvrir les tripes. Ajouter ensuite le Aage et son jus, le Shoyu, le Mirin, le
sucre brun et le Gari. Bien mélanger.
3. Ajouter les Wakame et champignons noirs, couvrir et laisser mijoter
~20-30min. Puis, ajouter les carottes et les châtaignes. Mélanger
délicatement pour ne pas casser ces dernières.
4. Verser la solution de Katakuriko, et laisser épaissir quelques minutes à
feu moyen-fort. Le bouillon doit devenir sirupeux, mais pas trop épais.
5. Ajouter les dés de pomme, éteindre le feu et laisser reposer 2min à
couvert, le temps de préparer un bol avec du riz.
6. Verser la préparation sur le riz, parsemer de sésame et d'amandes et servir
immédiatement !
Régalez-vous !!!
Note : Vous pouvez ajouter du poireau et des oignons verts émincés finement
sur le plat, pour plus de couleurs !
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Par Nana~ le 24 Mars 2016 à 22:05
Bonsoir cher amis !
Voici un petit post juste pour vous présenter nos dernière créations en matière de Sushi... Bah oui, faut bien les vanter un peu quand même, avec le mal qu'on se donne à les faire ! Ahah !
Sushi Sett ō:
- Uramaki Tataki truite sauce Sweet Chili, avocat, concombre, mayonnaise, poireaux, Surimi, sauce Teriyaki, chips de crevette sur le dessus
- Nasu no Shiokoji : aubergines marinées au Shiokoji
- Tataki de truite en sauce douce
- Wasabi, Gari & sauce soja surchoix
Uramaki de salade de truite rôtie à la mayonnaise, sauce soja, Wasabi, vinaigre de riz, oignons & ail rôti, roulé avec de la peau de truite grillée salée, roquette, avocat, concombre. Riz parsemé de Furikake rose à la bonite.
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Par Nana~ le 3 Mars 2016 à 20:28
Bonsoir chers amis !
Nous avions envie de réaliser cette recette depuis un moment déjà, surtout depuis que Takeru travaille au restaurant "WASABI Sushi Bento Bar"... car le dressing japonais au sésame de cet établissement est délicieuse ! Alors il fallait bien évidemment que nous lui fassions concurrence...
Et nous nous sommes lancées et nous avons réussi un SUCCULENT et SAVOUREUX Goma-dare à la mayonnaise & sésame rôti pilé (aussi appelé Goma Doresshingu ; 胡麻ドレッシング)Très clairement, il n'a rien du tout à envier à celui du resto... il est même meilleur. Et plus léger aussi, car nous avons utilisé de la mayonnaise allégée... ce que vous n'êtes absolument pas tenus de faire, soit dit en passant.
Le sésame rôti pilé donne une note toastée incomparable à ce dressing, il est donc vraiment indispensable de faire revenir vos graines de sésame blond à sec dans une poêle à feu doux, lentement, afin qu'elles soient uniformément dorées. Puis le PILAGE dans un mortier est INDISPENSABLE ! Ecraser ainsi le sésame permet de développer sa saveur ! Pour ceux qui n'ont pas de mortier, tant pis pour vous et utilisez un mixer... mais si vous avez l'occasion d'en avoir un sous la patte, n'hésitez pas une seconde !
Vous pouvez associer cette sauce à une salade de chou croquante à la japonaise (ou vos salades de tous les jours, cela leur apportera de la fantaisie), à des épinards (ou tout autre légume), ou encore à des Donburi (bol de riz chaud) de viande ou poisson, ainsi que des Chirashi (bol de riz pour Sushi assaisonné, couvert de diverses garnitures).
Ingrédients (~1/2 tasse) :
- 2 c. à s. de graines de sésame blond (rôties)
- 2 c. à s. + 2 c. à c. de mayonnaise (ici : allégée ; mieux : japonaise, marque "Kweepie")
- 1 c. à s. de vinaigre de riz
- 2 c. à c. de Mirin
- 1/2 - 1 c. à c. de Sake
- 1/4 c. à c. de Hon-dashi (Dashi en granules)
- 1 c. à s. de soja clair
- 8g de sucre blanc
- 2 c. à c. d'eau chaude
- 1/2 c. à c. de Núoc Mam (facultatif : remplaçable par du soja clair)
- 1/4 c. à c. d'huile de sésame
Préparation :
1. Dans une petite poêle, faire lentement rôtir les graines de sésame à feu DOUX
jusqu'à ce qu'elles soient bien dorées. Les verser dans un récipient et laisser
refroidir.
2. Dans un petit verre, mélanger le vinaigre de riz, le Mirin, le Sake, le Dashi en
granules, l'eau chaude et le sucre. Bien mélanger jusqu'à dissolution du sucre.
Réserver.
3. Dans une tasse, mélanger la mayonnaise, le soja, le Núoc Mam et l'huile de
sésame. Réserver.
4. A l'aide un mortier, bien piler les graines de sésame rôties (ce n'est pas grave s'il
reste quelques graines entières).
5. Verser le sésame dans la tasse de mayonnaise et mélanger.
6. Ajouter la préparation au vinaigre dans le mélange précédent et bien incorporer.
7. Laisser reposer 2h (ou plus) pour que le mélange épaississe un peu.
Voilà voilà ! Ce n'est pas plus compliqué que ça ! Votre Goma Doresshingu est prêt à être utilisé au grès de vos fantaisies ! Huuuuummm quel parfum !
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Par Nana~ le 18 Février 2016 à 20:17
Bonjoooooour chers aminautes !
Aujourd'hui nous vous proposons un des MUST de la cuisine japonaise... le Tori-katsu ! Hein ?! Vous n'avez aucune idée de quoi il s'agit ? Et si nous vous disons que c'est en fait un plat aux influences occidentales, à base de viande et de panure... vous y êtes ? Oui oui ! Il s'agit bien de la fameuse escalope panée, mais évidemment à la mode japonaise ! C'est d'ailleurs pour cela qu'elle est aussi appelée Chikin-katsu (チキン-カツ ; comprendre "Chicken-katsu") de manière occidentalisée.
Le terme Katsu dans la cuisine japonaise désigne tout ce qui est frit. Parmi ces plats, on distingue le Tonkatsu (とん-かつ ; côtelette de porc panée et frite) du Tori-katsu (escalope de poulet panée et frite). Pour être super croustillants, le porc ou le poulet sont successivement aplatis, enduits d'une fine couche de farine, trempés dans de l'oeuf battu assaisonné, et finalement recouverte de Pankō (la chapelure japonaise faite à partir de mie de pain toast).
Il a y trois façons de préparer les Katsu (selon la région du Japon) :
a) la viande est frite et servie telle quelle, tranchée en lanières d'~2,5cm de large et nappée de sauce Tonkatsu (とんかつソース ; sauce "BBQ" japonaise au jus de légume ou de fruits). Elle est en général accompagnée de riz, de chou émincé et d'une soupe Miso.
b) la viande est frite, tranchée en lanières d'~2,5cm de large et mijotée dans un bouillon doux aux oignons et à l'oeuf. Elle est ensuite déposées sur un bol de riz avec le bouillon. Dans ce cas, le plat se nomme Katsu-don (かつ-丼 ; abréviation de Katsu-donburi) !
c) la viande est frite, tranchée, servie sur une assiette à côté d'une portion de riz blanc, puis copieusement nappée d'une sauce à Kare ("curry") japonais. Il peut y avoir des légumes dans la sauce, et on peut aussi l'accompagner de pickles de légumes (Fukujin-zuke ; recette ICI).
Nous, ici, on s'occupe du poulet, donc du Tori-katsu ! Normalement, les Japonais utilisent une cuisse de poulet désossée, qu'ils ouvrent en papillon et qu'ils aplatissent un peu (sur 1-2cm d'épais). Mais comme nous n'en avions pas, nous nous sommes contentées d'une simple escalope de poulet... Toutefois, le résultat est meilleur avec la cuisse, alors si vous en avez une sous la patte, utilisez-la !
En ce qui concerne la manière dont nous l'avons servi, nous avons une fois encore fait des originalités. En effet, le riz sur lequel nous avons déposé l'escalope se nomme Okowa-gohan, c'est-à-dire du riz Mochigome caramélisé et agrémenté d'Abura-aage, Shiitake et légumes (explications & recette ICI). Une pure tuerie, ce riz ! Quand à la sauce Tonkatsu, nous l'avons faite maison bien sûre (recette ICI). Mais rien ne vous empêche d'en acheter... ou d'utiliser du Ketchup simple ou votre sauce BBQ favorite, mais ce sera nettement moins traditionnel tout de même...
L'autre petit PLUS de notre recette, c'est que nous faisons MARINER la viande durant une nuit avant de la cuisiner. Cela lui permettra de s'attendrir et d'être savoureuse.
Allez ! Faites-vous plaisir à vous et la la petite famille en réalisant ce plat façon "Fast Food" à la maison !
Bon, nous avouons que cette fois-ci, notre Tori-katsu n'était pas assez doré...
Voilà avec quoi nous l'avons accompagné : du Kimchi maison ! Traditionnel, dites-vous ? Mais la Corée, c'est pas si loin hein...
Ahlàlà... rien de vaut une bonne sauce Tonkatsu cuisinée avec nos petites mimines ! Et ces bords d'escalope si croustillants pour la déguster...
Ingrédients (1 pers) :
- 1 cuisse de poulet désossée et ouverte en papillon (à défaut ici : poitrine / filet de
poulet de 150g)
- Farine
- 1 oeuf (battu) --> d'après Jean-François Piège, il est apparemment mieux de n'utiliser que
le BLANC pour que ce soit plus croustillant !
- Pankō (chapelure japonaise faite à partir de mie de pain toast)
La marinade :
- 1 c. à c. de Sake
- 1 c. à c. de Mishio-kōji
- 1/4 c. à c. de Dashi en granules
Pour servir : sauce Tonkatsu à volonté ! (maison ou non ; recette ICI)
Préparation :
La marinade : le VEILLE
1. Placer le poulet dans un sachet de congélation.
2. Dans un petit verre, diluer le Dashi dans le Mishio-kōji et le Sake.
3. Verser la marinade sur le poulet, refermer le sachet et masser la viande.
4. Laisser reposer 1 nuit au frigo.
Le Tori-katsu : le LENDEMAIN
1. Préparer 3 assiettes : la première avec la farine, la deuxième avec l'œuf battu
(choisir : l'oeuf entier ou juste le blanc) et la dernière avec une généreuse quantité de
Pankō.
2. Sortir le poulet du frigo et de son sachet. Bien l'essuyer avec du papier absorbant.
3. Replacer le poulet dans le sachet ouvert et l'étaler finement avec une masse à
viande. Réserver.
4. Mettre une quantité suffisante d'huile de friture dans une poêle (si possible en fonte
et à fond épais) et la faire chauffer.
ATTENTION : elle ne doit PAS FUMER !
5. Pendant ce temps, paner la viande en suivant cet ordre :
1°) fariner et taper pour retirer l'excédent (la couche de farine doit être FINE !)
2°) passer la viande dans l'œuf et l'égoutter
3°) paner généreusement avec le Pankō
6. Facultatif : refaire un panage en suivant l'ordre.
7. Tester la température de l'huile : mettre un petit bout de pâte dans la poêle. Si
elle commence à frire instantanément et qu'elle flotte, c'est bon !
8. Mettre immédiatement le poulet pané à frire en le retournant de temps en temps,
jusqu'à ce que la panure soit bien dorée et croustillante.
9. Egoutter le Tori-katsu sur du papier absorbant.
10. Découper délicatement en tranches d'~2,5cm de large (préférablement en biais).
11. Servir le Tori-katsu tel quel ou sur un bol de riz (ici : Okowa-gohan), nappé de
sauce Tonkatsu. Accompagner de légumes, pickles,… et d'un quartier de citron
(ici : Kimchi maison)
Allez-y généreusement sur la sôôôôôôôce !!! C'est le plus important la sôôôôôce !!!
Ici, vous avec un aperçut de l'Okowa-gohan ! Les grains de riz sont bien cireux, brillants et caramélisés... SUCCULENT ! (recette ICI)
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